Votre personnage :

Nom : Green est le nom qu'elle s'est donnée, tirant son origine du fait que ses yeux deviennent verts lors d'un temps orageux.
Prénom : Lucy, Margaret n'étant qu'un deuxième nom donné par les religieuses qui l'ont recueillie et qu'elle ne trouve pas nécessaire de mentionner si on venait à lui demander comment elle s'appelle.
Âge : 14 ans.
Fonction : Elève
Race : Banale humaine, quoiqu'avec du sang de vampire.
Monde d’où vous venez : Untitled World.

College : Cosmos
Cycle : 2ème Cycle
Niveau de perversion jusqu'au quel vous pouvez aller : Allez, niveau 6, soyons fous ! =P
Autre : \

Description générale :

Lucy est le fruit d'un vampire et d'une gorgone. La mise en commun de ces deux espèces aurait pû susciter une race toute nouvelle. Au lieu de quoi, une simple humaine en est ressortie. De son père Lucy hérita d'une peau laiteuse et sans aspérités aucunes. De sa mère elle reçut des cheveux d'un blond platine ainsi que des yeux couleur saphir. Mais ce n'était là qu'une aventure parmis tant d'autres dans la vie des jeunes amants qui ne souhaitaient en aucun cas s'embarasser d'un nouveau-né. Son géniteur, connu sous le nom de Josh Arick, était un riche aristocrate veuf, qui depuis la mort de son épouse, passait ses nuits avec toutes sortes de femmes. Il entreprit de "vampiriser" sa fille, dans le but de se délivrer de sa charge. Mais il fit chou blanc. Il était probable que Lucy héberge un gène l'immunisant contre les morsures de ses semblables. La marque des dents de son père s'est conservée dans la tendre chair de sa nuque..Sa mère-une jeune femme pauvre qui pour subvenir à ses besoins forniquait avec le premier venu- tenta bien de la noyer mais quand elle immergea le corps du poupon dans l'eau, le liquide se dressa autour d'elle sans même l'effleurer ! S'ensuivirent de nombreux essais pour perdre le bébé. Tous se conclurent par un échec. A croire qu'il y eut une part de chance dans son malheur !
Avant que le couple se sépare et d'un commun accord, ils abandonnèrent Lucy aux mains de bonnes soeurs.



-Oh ! Qu'elle est mignonne !
-Comment va t'on l'appeler ?
-Attendez, elle a un pendantif autour du cou !
-Lucy..Hu! C'est ideux ! Margaret lui conviendrait bien mieux !
-Oui, je suis d'accord ! Nous l'appelerons ainsi !


Ce matin la pêche avait été bonne. Deux garçons et une fille recueillis au pas de la lourde porte d'entrée du monastère. La fille n'était autre que Lucy. Dès qu'elle aperçut le visage rayonnant des religieuses, elle ne put réprimer une forte envie de pleurer. A peine née, elle avait assimilée que sa vie au cloître serait d'un ennui mortel !

Lucy, avec tout le souffle dont bénéficie un enfant en bonne santé, éteigna ses dix bougies. Tout les minots réunis dans la chambre des filles applaudirent le plus silencieusement possible. Depuis une heure ils auraient dû être couché. Au lieu de quoi ils se délectaient d'un gâteau sec, certes, mais qui leur apparaissait comme la plus appétissante des denrées qui soit. Dans ce couvent guère de choses étaient autorisées. Exceptée la prière. Pour le moins ils avaient une marge d'oraisons relativement élevée. Ils pouvaient, entre autre, invoquer leur dieu ou leur bonne étoile pour jouir d'une ration supplémentaire de nourriture, pour se lever plus tard et se coucher moins tôt (vous vous lamenteriez sur les horaires si je vous les communiquais) ou encore d'écourter les travaux auxquels ils étaient soumis. Mais la demande qui revenait le plus souvent était celle qui formulait le désir de quitter ce lieu le plus rapidement possible. Malheureusement, tout ces voeux restèrent vains et au fil du temps qui passait la foi du Lucy en fut fortement ébranlée. La jeune fille devint d'un scepticisme sans bornes, n'accordant sa confiance à personne. Mais pour revenir à la scène se déroulant dans le dortoir des filles, on pouvait dire en quelque sorte que les enfants enfrégnaient trois lois : celle stipulant l'extinction totale des feux à 20h30 (et mince j'ai laissé échappé un horaire!), celle qui allait à l'encontre de toute réunion entre garçons et filles, et celle qui contre-indiquait pour leur équilibre nutritionnel de ne manger rien d'autre que la marmelade qu'on leur servait au réfectoire. Ledit gâteau provenait d'une des nonnes qui pensait à l'opposé de ses collègues. Elle se nommait Soeur Zoé. Lucy l'adorait et entretenait une amitié complice avec elle. Avoir une alliée dans ce lieu désolé était une pensée rassurante.

A présent, faisons une petite paranthèse sur l'héroïne de cette histoire : Lucy. Elle ne connaît ni l'amour ni le divertissement. Ces deux notions lui sont tout à fait étrangères. A son âge, les enfants sont espiègles et joueurs, mais ce n'est pas dans ses cordes de se laisser aller à la joie. Aucune malice ne se détache de ses grands yeux bleus. A vrai dire, on ne lit rien dans ces mirettes, ou tout au plus de la sévérité et de la tristesse. Mais il serait aisé de les comparer à des yeux de robot, inexpressifs et sans vie comme si elle était absente de son corps. Sa beauté en demeure fascinante. Ses cheveux blonds, lisses et parfaitement dêmélés sont relevés en couettes à l'aide de noeuds noirs. De son visage fin pointe un nez en trompette au dessous duquel de fines lèvres gercées et pincées n'incitent guère à la conversation. Ses commissures sont figées vers le bas en une moue qui assombrit son visage. Pour ce qui est de ses formes, au lieu de les mettre en valeur, elle les dissimule sous un amoncellement de vêtements. En tout temps elle garde sur elle au moins son pull et son écharpe, tout deux en laine. Elle est mince, même maigre, et les rations servies au réfectoire ne l'aide pas à se remplumer.

A de nombreuses reprises Lucy tenta de s'échapper de sa cage en pierres. Mais pour de multiples raisons, elle ne parvint pas à s'évader. Soit une bonne soeur l'interceptait, soit c'était les enfants qui se placaient en travers de son chemin en la dénoncant. Dernièrement, elle risqua de s'enfuir par la fenêtre du dortoir mais ayant mal calculé la distance qui séparait la vitre de la terre ferme, elle se cassa une jambe. Non pas joindre un médecin ou l'amener à l'hôpital, les nonnes virent là la fin de ces nombreuses évasions. Handicapée, Lucy ne tenterait plus rien pour un certain temps ! Elles n'avaient rien non plus pour lui prodiguer des soins. Le seul remède efficace qui avait porté ses fruits était le repos. Lucy demeura donc au lit pendant un certain temps, ce qui ne lui allait pas plus mal car elle échappait aux corvées quotidiennes ! Soeur Zoé, la couvait comme une vraie mère. Mais les jours passants, Lucy se lassait de ne pas pouvoir marcher à son aise et suppliait son amie de l'emmener loin du couvent, ce à quoi son infirmière répondait "Plus tard, lorsque tu seras guérie !". Pour la consoler, Zoé lui faisait la lecture, lui montrait comment était le monde extérieur via des livres d'images. Et Lucy rêvait de ce monde inaccessible qui l'avait séduite. Mais poussait un long soupir à l'idée qu'il faudrait attendre sa majorité, dans six ans.
Lucy se remettait doucement de sa chute. Bientôt elle put remarcher quoiqu'en boitant un peu. Elle échafaudait des plans avec Soeur Zoé pour s'enfuir. La nonne prenait vraiment son rôle à coeur et disait ne pas se sentir le courage d'abandonner les enfants aux autres religieuses. Lucy partirait donc seule. Le jour J arriva. Tandis que Soeur Zoé faisait diversion, Lucy put s'échapper par la porte des cuisines laissée entrouverte exprès. Arrivée à l'extèrieur, elle s'élanca de toute la force que contenait son corps dans la morne plaine qui s'étalait sous ses yeux. A la pensée de sa Zoé chérie elle ne put retenir une larme. Une seule, qu'elle refoula. Elle ne s'était jamais sentie aussi bien.


Elle dériva plusieurs jours sans idée précise en tête avant d'arriver à une fâcheuse conclusion. Elle se trouvait dans une immensité de terre sans ressources alimentaires ni eau. Où était donc le monde dont parlait Soeur Zoé dans ses fabuleuses histoires ? Celui qui vantait la richesse, la beauté et la modernité des paysages ? Pas ici en tout cas. Et nul part ailleurs. Lucy sentait ses forces la quitter. La flamme qui l'avait animée s'était éteinte. Lucy cria. Un cri suraigu et sortant du plus profond de ses entrailles. Elle se vida de tout l'air que contenaient ses poumons. C'était trop injuste de finir sa vie maintenant et de penser que dans quelques années on retrouverait sa carcasse brûlée par le soleil.
Mais comme pour répondre à ce désespoir, une ville apparut. Lucy se remémora un livre d'images où elle avait découvert ce type de ville, typique du western. Elle s'élanca, un espoir nouveau l'ayant gagnée. Elle se délectait de ce qu'elle voyait. Elle s'approcha tout d'abord d'un arbre. Tendit la main pour le toucher...Mais ses doigts n'heurtèrent aucune surface dure. Ils battaient l'air. Il fallut quelques minutes pour que tout s'effondre, pour que les facades des maisons, si nettes, se distorsionnent avant de disparaître. Un mirage. Une hallucination. Une illusion. Un leurre. Aucun mot n'était assez puissant pour décrire le désarroi et le chagrin qui heurtaient Lucy. Elle se laissa choir à terre. Mais au lieu de rester au niveau du sol, la terre s'ouvrit sous son poids et elle se sentit aspirée par une force inconnue. Une lumière aveuglante la cernait de toute part. Lucy n'esquissa pas un mouvement. Elle ne lutta pas. Le paradis n'était peut être qu'à un pas, qui sait.
Lucy balaya de son regard glacé le nouveau lieu où elle avait fini par échouer. Elle se trouvait face à un bâtiment imposant et à l'air on ne peut plus banal. Alentour de la végétation colorée venait égayer le décor. Il flottait dans l'air un je-ne-sais-quoi de merveilleux. Il embaumait une odeur fruitée et douce rassurante. Elle était étendue par terre. Après sa chute elle ne ressentait pourtant aucunes douleurs. Elle se releva en époussetant machinalement ses vêtements. La faille avait disparue, aucun moyen de retour en arrière. Une seule solution s'imposa alors à son esprit. Avancer. Avancer dans le nouveau monde qui s'offrait à elle. Et puis, même si l'ouverture ne s'était pas refermée, hors de question de revenir sur ses pas. Tout était mieux que Untitled World.



Vous

Pseudo/Surnom/Prénom : Mathilde. (Et je ne citerai aucun surnom parceque premièrement aucun ne me viennent à l'esprit et deuxiemement même si je n'ignore pas que le ridicule ne tue pas, dans certains cas, mieux vaut se taire. x])
Comment êtes-vous arrivés ici : Par top-site.
Ce que vous aimez : Le Sexe, la Drogue et le Rock'n'roll ! x)
Ce que vous détestez : En opposition avec ce qui est dit ci dessus, les Culs-Bénis, les gens sobres et le Rap/R'n'B.
Devise : Oh peucher ! Le cacalaou sur l'aoubré au dessus du pichun m'a cagué dessus et ca pègue ! [Proverbe typiquement provençal]
Petit message (à n'importe qui) : Mèfiez vous des Hollandais ! Il doit y avoir du paon dans leur lignée !

Bienvenue à toi, Lucy ! =D
Bonne fiche, sache juste que les horaires ont un appendice entre les deux jambes, donc un horaire, pas une. Je suis désolée du retard, je suis censée ne plus valider les fiches mais on dirait que je suis la seule à en être capable XD

Tout est bon, sauf une chose... Oui, il y a toujours un mais avec moi xD Ton nom. Si Lucy ne connait pas son nom, nous ne pouvons le connaître. Tu peux le mettre dans ta fiche, mais pas dans ton pseudonyme. Donc soit elle sans-nom, soit elle s'en est trouvé un elle-même ^^ (Mon personnage, par exemple, s'appelait Siley J. de Orlanducci initialement, mais après c'est pour d'autre raisons que les tiennes qu'il a changé de nom, bref).
Tu modifies cela et tu es validée n_n

Et voilàà ! J'ai édité !

Bienvenue à toi!

Il y a un petit truc qui me chiffonne. Ton personnage semble venir de Nameless World, cependant il semble que ce ne soit pas du tout comme la description de celui-ci faite par Lain. À moins que tu ne te sois trompée et ait voulu dire "Untitled World", qui est tout à fait différent, bien que le nom soit la même chose si traduite. Car Nameless World est sensé être un univers où tout est identique, routinier, sans différence. Il n'y a pas de gorgones ou vampires, seulement des humains conditionnés à une tâche leur étant désignée.

Donc voilà, juste spécifier ce petit point. Sinon la fiche est très bien

Ok, ok, c'est modifié !
A la base si j'avais mis Nameless World c'est parce que je pensais qu'il n'y avait pas que les humains qui peuplaient ce monde. Et le paysage était bien représentatif du monde que j'imaginais. Mais si ca pose un problème au niveau de la race, alors va pour Untitled World !

Le problème c'est qu'il n'y a que des hybrides dans l'Untilted World et ce que tu décris ne correspond absolument pas. Mais ça peut être un tout autre monde, un tout petit monde, si tu veux je ne le mets même pas dans la liste.
Ou sinon, tu trouves un monde qui convienne à ce que tu décris...

Pff, mais c'est pas vrai, vous le faites exprès xD ! Vous allez lui faire peur ! Pis "la drogue c'est mmal, t'voix" (imitation de m. MacKey dans south Park)
Bref, bienvenue, et dis moi, je vois que tu peux aller jusqu'au niveau 6 (ah que j'aime ma fiche de perversion), mais as-tu une réticente vis-à-vis des lesbiennes ? (non, parce que Awen, l'autre perso que je joue est une vraie raccoleuse qui aime jouer avec les garçons et les filles qui lui plaisent)

conscience : et voilà ! la petite vient à peine d'arriver que toi t'arrives et tu la traumatise !

Nous attendons tes modifications pour te valider

Fiche à verrouiller et à déplacer dans la corbeille.