°o° Gabrielle Nivis Christmas °o° ==> C'est quoi ? <==

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Votre personnage :

Nom : Chrsitmas
Prénom : Gabrielle. Plus tard, elle rajoutera Nivis, en l’honneur d’une personne qui lui était chère.
Âge : 24 ans

Description morale : Le passé laisse de nombreuses marques. La solitude de Gabrielle par exemple. Elevée loin de tous, elle avait pour seule compagnie son frère. Même à Amarth, ses amies étaient rares, et quand Nykola -son fameux frère- et elle sont entrés en guerre, sa faible sociabilité n'a pas tenue. Gaby est une femme déstabilisée, instable, qui n'a jamais vraiment sut où prendre ses marques. Ce sentiment d'être complètement perdue, elle l'a toujours eu. Mais elle n'est pas timide pour autant. D'une franchise incroyable, elle dira toujours ce qu'elle pense, mais avec délicatesse. Elle sait peser ses mots, et sait quand il faut s'y prendre avec soin. Sa voix est d'une douceur incroyable, et notre jolie prof' arrive docilement à dompter les gens, sans le vouloir. Car elle n'aime pas du tout le pouvoir. Elle voudrait que tout le monde soit à égalité. Disons que si le monde était parfait, cela lui irait. Malheureusement, ce n'est pas le cas. Elle sait que le mal est partout, mais ce qui est merveilleux, c'est que Gabrielle arrive à trouver un point positif dans chaque chose négative. Et bien qu'elle sache tirer les gens vers la bonne humeur, elle gardera toujours une façade froide, malgré son côté généreux, qui reste au plus profond d'elle même.

Description physique : Gabrielle. Rien que ce prénom fait retourner plusieurs personnes. Il suffit qu’on le prononce pour que tout le monde pense à la beauté glaciale de la prof. Son visage est de marbre, depuis que Nivis, une femme qu’elle aimait, est morte. Ses yeux sont naturellement violets. Normal, Gaby déteste tout ce qui est faux. Donc, je disais, ils sont grands, beaux, persans et chaleureux. Comment ça, je me contredis ? J’ai dit que son visage était froid, pas ses deux belles pupilles. Car elle a un regard doux et curieux, vif et intéressant, bien qu'il soit très dangereux. Mais disons que les gens sont souvent plus attirés par ses cheveux. En effet, ils sont roux, presque roses. C’est incroyable à voire. Une frange longue coupe son visage aux traits fins, et cache son front. Ils sont lisses et doux, et sont souvent attachés n’importe comment. Enfin, c’est ce que l’on croit. Gabrielle s’occupe beaucoup de sa soigneuse chevelure. Elle laisse tomber de mèches épaisses sur ses épaules frêles.
On a entendu des hommes fous d’elle dirent qu’elle était aussi gracieuse qu’un papillon. C’est la vérité. D’ailleurs, elle adore cet insecte qui vole. En fait, elle adore la nature. Mais revenons-en à sa grâce. Pendant de longues années de danse, elle a assouplie son corps de gazelle, devenu intéressant à cause de ses formes de femmes. Ses doigts décorés de longs ongles agiles, et Gaby s’en sert pour pratiquer les nombreux instruments de musique qu’elle maîtrise. Elle sourit très rarement, mais elle reste incroyablement jolie. Elle porte toujours des habits très légers. Etant donné qu’elle n’est pas frileuse, elle n’a que très rarement froid. Disons qu’étant jeune, souvent, elle était réprimandée pour ses décotés, ses bustiers, ses mini-jupes, bien que toute ces choses ne soient pas vulgaires. C’est une femme très raffinée. Très minutieuse, elle soulève chaque objet avec soin. Ses gestes sont prémédités à l’avance. Gaby a une démarche féline et très féminine. Je pense qu’elle aurait pu devenir mannequin. Les rares fois où elle rigole, on dirait une cascade de miel qui coule agréablement dans sa gorge. C’est certainement grâce à sa voix douce.
On peut rajouter qu’elle a une sorte de petit tic. Avec sa main droite, elle donne des petits coups dans l’air, comme si elle jouait avec un piano invisible. On la voit souvent faire ce geste étrange. Gabrielle ne se rend même pas compte qu’elle a ce tic. D’ailleurs, elle ne se rend pas compte qu’elle est magnifique…

Biographie : « Regarde-la. . . Qu'est ce qu'on va faire d'elle ?
- C’n’est pas à moi qu'il faut poser la question. Et si on la refilait à la vieille ? Comme ça on essaye d'étouffer l'affaire. Les gens ne feront pas un scandale s'ils la savent chez elle.
- Ouais, ce n’est pas une mauvaise idée. »
Gabrielle était assise sur une chaise, la bouche entrouverte, son regard vague dans le vide. Le médecin passait une lampe devant ses yeux, mais elle ne bougeait pas. Elle ne remuait même pas le petit doigt. Une équipe policière était sur place. Les hommes transportaient les corps, cachés derrière un drap blanc.
« La petit n'a plus de réflexes. Elle a reçut un trop gros choc. Vous savez si elle a été violentée ?
- Non, non. Elle était cachée sous le lit de sa chambre. Le meurtre a eu lieu dans le salon.
- Bien, vous comptez l'envoyer dans une famille d'accueil ?
- Chez Nivis.
- Ah ! En voilà une bonne idée. Bien, vous direz à sa tutrice qu'il faut que je la vois. Et si elle pouvait emmener Gabrielle à l'hosto, ça m'arrangerait. Au revoir messieurs ! »
Le monde des adultes était bien cruel. Tout se bousculait dans la tête de Gabrielle. Son corps ne réagissait plus, mais son cerveau était bien actif. Des larmes coulaient le long de ses joues.

*Qui êtes-vous ?*
Elle le pensa très fort, mais les mots ne sortirent pas. La maison était grande, trop grande. Des murs blancs, un toit noir, des poutres en bois. . . Trop étrange. Mais Gabrielle ne voulais pas parler. Elle se mordit doucement la langue. Sur le seuil de la porte, devant elle, se tenait une femme d’une cinquantaine d'années, qu'on surnommait 'la vieille' parce qu'elle faisait plus que son âge, et un garçon d'un ou deux ans de plus que la petite orpheline
« Bonjour. Je m'appelle Nivis. Ce jeune homme vit avec moi depuis plusieurs années. Nous sommes ta nouvelle famille. Tiens, chéri, montre sa nouvelle chambre à Gabrielle. »
L'étranger avait un air de frimeur.

« C'est quoi ça ?
- Ah ! T'as retrouvé ta langue.
- C'est quoi ?
- De quoi ?
- Ce truc là »
Gabrielle pointa son doigt fin vers une fillette très petite. Elle faisait moins de cinquante centimètres, ce qui était vraiment effrayant. Ses yeux marron se perdaient dans le vide, et ses lèvres . . . Enfin, si elles en étaient, étaient d'un rose foncé. Gaby observa silencieusement la robe bleue de cet être immonde.
« C'est une poupée. Ce n’est pas un vrai humain, c'est un jouet. Si tu l'aimes pas, dis le à Nivis, elle l'enlèvera de ta chambre. »
L'enfant posa son sac par terre et saisit l'objet qui lui faisait tant peur. Avec une délicatesse incroyable, elle posa la poupée devant l'escalier, en entra à nouveau dans sa chambre. Le garçon semblait très surpris de ce comportement, mais ne dit rien. Gabrielle s'assit sur son lit, et un sourire forcé se dessina sur son visage triste. Son cœur battait fort, mais elle souffrait en silence.
« Tu t'appelles comment ?
- Nykola. N-y-k-o-l-a. »
La petite hocha la tête et s'allongea, ses yeux tournés vers le mur.
« Tu crois qu'ils sont là haut ? »
Mais Nykola était déjà partit.

« C'est quoi un meurtre ?
- C'est quand on tue quelqu'un, ou un truc dans le genre. »
Gabrielle porta ses mains à son visage et de grosses larmes coulèrent le long de ses joues. Voilà deux mois que le sujet était tabou. Nivis arriva et donna une claque bruyante sur la tête du garçon.
« Quoi ? Moi aussi mes parents ils sont morts, et j'en fais pas tout un drame ! »
Nouvelle claque. Nykola monta en furie dans sa chambre et claqua la porte. La petite Gaby pleurait toujours, les yeux grands ouverts. La scène de la " Personne-Inconnue " lui revenait en tête. Elle avait peur. Etait-elle ici ? Etait-elle venue la chercher ? Nivis secoua l'enfant, mais cette dernière de bougeait plus. Son cœur battait fort et sa tête lui brûlait. Les images présentes et passées tournaient dans sa tête. Ce souvenir insupportable la calcinait de l'intérieur. Alors qu'elle mourrait, elle fit un malaise, qui la sauva.

« C'est quoi une hémorragie interne ? »
Même aujourd'hui, Gabrielle se demande pourquoi le médecin ne lui a pas répondu. Il parlait de l'autre côté de la vitre avec Nivis, la vieille femme qui voulait être sa Maman. A cette pensée son ventre se noua, mais les Images ne lui vinrent pas en tête. Son regard vide se tourna vers Nykola. Il se frottait les yeux.
« Pourquoi tu pleures ? »
Et surtout, pourquoi il lui tenait la main en chuchotant " désolé " ? Gaby ne comprenait rien. Sa curiosité explosa.
« Pourquoi je suis ici ? Pourquoi t'es triste ? Pourquoi on habite chez Nivis ? Pourquoi toi tu es ici ? Pourquoi tu veux être mon grand-frère ? Pourquoi elle veut être ma Maman ? Pourquoi je me ronge les ongles ? Pourquoi Nivis aime les poupées ? Nykola, pourquoi on a plus de parents ? Pourquoi ? Pourquoi on n’a pas de chance ? »

Gabrielle observa doucement l'instrument. Grand. Noir sur le dessus. Des petits rectangles blancs sur les côtés, et d'autres plus foncés.
« C'est . . .
- Un piano. »
Nykola débarrassa son assiette. Il s'assit. Sa petite sœur posa ses fesses sur le petit tabouret, devant l'instrument de musique. Elle se risqua à appuyer sur une des touches, et un son grave sortit d'on ne sait où. Non, elle n'était pas stupide. Juste que cet objet lui était complètement inconnu, ce qui l'inquiétait. La petite appuya sur une touche blanche de droite. La note était bien plus aigüe. Et sous les yeux de son grand-frère, elle joua un morceau connu de tous, même dans son monde. « Au clair de la Lune ». Au bout de plusieurs semaines, le piano n'avait plus de secret pour elle. La musique entra dans sa vie. Aujourd'hui encore, Gaby se souvient de la première fois qu'elle a caressé ce piano qu'elle ne reverra jamais. Mais la nostalgie ne la hante plus, passons. Donc, je disais qu'elle apprit le piano. Mais pas seulement. Le violon, la flûte, le clavecin, la guitare, la basse, . . .

« Chachaaaaat ! »
L'enfant courait après l'animal en rigolant. Elle était seule dans le jardin, derrière chez elle. Gabrielle s'arrêta pour reprendre son souffle, puis repartit dans sa course folle. La joie de vivre habitait la petite, qui avait longtemps été hanté par les 'Images', et cette personne inconnue. Non, son frère et sa nouvelle 'mère' lui avaient enseigné la vie. Gaby pleurait des fois le soir, mais cela devenait rare. Elle pouvait elle-même dire qu'elle était comblée, surtout que Jord était son nouveau petit-ami. Ils avaient tout les deux onze ans, et vivaient d'amour et d'eau fraîche. La petite, qui, entre nous, devenait grande, ne connaissait plus grand bonheur que le sien.
Gabrielle poursuivait donc cette pauvre bête, qui se cacha sous un banc du grand jardin couvert de roses et de belles tulipes. Bref, l'enfant s'accroupit et tendit son bras à l'animal qui pesta après elle - chose qui se matérialisa par un cracha de félin. Gabrielle demanda au chat, dans sa tête, de ne pas bouger. Elle plongea son regard dans celui de la bête. Son pelage devint gris. Il miaula bruyamment, mais ne bougeait plus. Un bruit de papier froissé venait du petit chat. En une seconde, il était devenu de la pierre.
« C'est quoi ça ? »

« Tu fais quoi ? »
Pour une fois que ce n'était pas elle qui posait les questions. Un sourire illuminait son visa de gamine, alors qu'elle avait quinze ans. Disons que la joie l'habitait. Elle regarda son frère s'asseoir sur le joli lit décoré d'une vingtaine de peluches. Nykola, clope au bec, était de plus en plus beau. Gabrielle était jalouse de toutes les filles qui l'approchaient. Mais elle faisait avec. Son violon dans une main, son arche en bois dans l'autre, elle plaça l'instrument dans son cou.
« Je révise mon concerto pour demain.
- Ok. Vas-y, je t'écoute. »
Le cœur de la jeune fille battait rapidement dans sa poitrine généreuse. C'est qui lui arrivait dès qu'elle avait du public. Peut être était-ce dû à la peur de se tromper, d'avoir honte. Elle refoula ce sentiment, et frotta l'archet contre les cordes tendues. Une note douce retentie, puis une dizaine. Gabrielle donnait cette espèce de magie quand elle jouait de la musique. Le morceau fut bientôt finit, et Nykola applaudit en décollant une bise sur la joue de sa soeur.
« C'est magnifique ! Tu as un réel talent ! Tu vas faire un tabac, demain, au concert. »
Il passa son bras par dessus l'épaule de Gaby. Elle rigola faiblement, touchée par ce compliment. Il ouvrit la porte, passa à travers avec la jeune fille, et prit bien soin de la refermer. Il se retourna. Son visage se décomposa. Gabrielle ne comprenait pas. Le frère et la soeur se trouvaient dans une forêt. La cime des arbres semblait caresser le ciel, et des fougères les entouraient.
« Nyko, qu'est-ce que t'as fait ? Vite, on rentre dans ma chambre !
- Mais la porte a disparut ! Non ! C'est quoi ce bordel ! Merde !
- C'est bon, on se calme, je dois être dans un rêve, dit calmement Gaby.
- Regarde, tout est bien réel ! Ce n’est pas logique tout ça, hurla Nyko. Et même quand je crie, y'a pas d'écho ! On est où ? C'est obligé que tu le saches ! »
La jeune fille se tourna vers le jeune homme et le foudroya du regard, avant de baisser les yeux.
« On ne reverra plus jamais Nivis. »
Après cette phrase prononcée tristement, Nykola et Gabrielle s'enfoncèrent dans la forêt, avant de tomber sur Amarth.

« Pourquoi tu veux pas ?
- Je ne sais pas . . . Vraiment, je ne me sens pas prête . . . »
Gaby baissa la tête. Elle avait un peu honte de se refuser à Mikael, mais, vraiment, quelque chose lui en empêchait. Ce dernier passa sa main dans les cheveux de sa copine, et l'embrassa avec fougue. Le jeune homme ne faisait jamais les choses à moitié, et le fait que la jeune fille se refuse à lui, devait très certainement le perturber. Il incitait tous les jours Gabrielle et la 'pelotant' devant tout le monde, sûrement pour voir sa réaction. Mais la beauté fatale avait une boule dans le ventre à l'idée de lier son corps à celui de Mikael. Le connaissant, il perdrait vite patiente. C'était maintenant, ou jamais. Celui-ci allongea sa copine sur le lit, toujours en l'embrassant. Elle ne voulait pas se débattre, mais elle opposa une résistance quand il se colla carrément à elle.
« Non, arrête, vraiment. »
Il ne l'écouta pas. Une heure plus tard, la respiration haletante, Gaby sentit un poids immense céder sa place à une nouvelle gêne. Plus jamais elle ne serait confiante avec Mikael. De plus, son image de la petite vierge intouchable était brisée. Alors que son 'petit-ami' dormait, elle sanglota en silence
.

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« Qu'est-ce qu'il se passe ?
- C'est Mikael, il dit à tout le monde qu'il t'a convaincu de . . . enfin, tu vois !
- N . .. Non ! Ce n'est pas vrai ?
- C'est pas ça le pire, Gaby ! C'est que ton frère et lui sont entrain de se battre ! »
Gabrielle poussa son amie, et couru près du rassemblement de personnes, se fraya un petit chemin, et vit Nykola et Mikael à terre, entrain de se battre. Du sang coulait le long de leurs lèvres gonflées. Le liquide rouge jaillissait de l'œil de son frère adoptif. Elle se rua sur eux en hurlant.
« Arrêtez ! STOP ! »
Mais la foule encourageait les deux jeunes hommes. Gabrielle se prit un coup, et tout devint noir.

« Qu'est ce qu'il t'es passé par la tête, crétin ? Je te hais ! C'étaient pas tes affaires !
- Mais . . .
- Dégage ! Tu es ridicule ! Je te déteste !
- C'est faux !
- En plus de ça, tu as perdu un œil !
- Petite ingrate ! Je me suis battu pour sauver ton honneur, et tu m'engueules ! Tu n'es même pas digne d'être la fille de Nivis. Adieu.
- C'est toi qui ne le mérite pas ! Enflure ! »

Le silence. Monde horrible. Une bulle qui se doit de nous protéger, et qui ose nous consumer de l'intérieur, avec plaisir. Le visage du silence est sadique. Ses traits sont déformés par la haine et la méchanceté. Et pourtant, le silence est invisible, pas même brumeux. On croit l'avoir vaincu, mais il est toujours là. C'est un cercle vicieux. Une fois laissé tenter par ce Diable, et vous êtes emportés à jamais dans une danse folle et sans issue.

« Pourquoi je vis ici ? Pourquoi la magie est là ? Est-ce simplement de la magie ? Qu'est ce qu'un piano ? Un violon ? Une flûte ? A-t-on réellement besoin des autres ? Qu'est ce que le silence ? Qui était Nivis ? Avait-elle un secret ? Pourquoi Nykola et moi nous ne pouvons plus nous voir ? Pourquoi se dit-il mon frère ? Pourquoi j'aime tellement contrôler les éléments ? Pourquoi ma vie gravite autour de la tristesse ? A quoi sert un ami ? Et même pire, un petit-ami ? Qu'elle est la sensation que l'on ressent après le viol ? Pourquoi est-ce que je la connais ? Pourquoi mes parents sont morts ? »

« Pourquoi je me souviens encore des images ? »

Monde d’où vous venez : Il n'a pas réellement de nom. Mais de nombreuses crétures [humains, anges, Gorgognes] y vivent.
Origine : La jeune femme est une Gorgogne, comme Méduse, son ancêtre. Elle peut donc figer les gens d'un simple regard envoûté.
Niveau de perversion jusqu'auquel vous pouvez aller : Environ au niveau 1 [Même si dans la fiche, il y a entre autre un viol]

Vous

Pseudo/Surnom/Prénom : Nana, Nanoune
Comment êtes-vous arrivés ici : Ancienne de Mélu [Nana Koosu]. Je n'étais pas active, mais je compte bien l'être sur Amarth !
Ce que vous aimez : Le Nutella ? [Certes, je suis humaine xD]. Ecrire. Le théâtre. M'auto-critiquer. Être méchante avec les gens que je connais pas pour les impressionnés. Very Happy

Ce que vous détestez : Les gens qui me vannes. Lé fote(ss) réguliair dens ain text. Et tellement pleins de choses.
Devise : « Plus on est de sadiques, plus on rit ! »
Petit message (à n'importe qui) : « Coucou Papa-Nowel ! J'ai été TRES sage ! »

Tout est okay ! (On en a parlé d'ailleurs ^^)
Belle fiche, surtout la dernière phrase. J'ai un faible pour les belles phrases de fin *o* (Pistooooon !) Ta gueule toi !

On a ajouté "Fonction", "College où vous désirez aller" et "Autre". Tu rajoutes ? ^-^

Validée.
Professeur de Verto (il va nous en falloir un pour Vita....)

» Nykola Christmas
» Gabrielle, Professeur des Elements
» Je vais kidnapper Gabrielle !
» Promenade sous les arbres [PV Gabrielle]

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