David avait réussis d'une certaine manière à sortir des lieux qu'il avait déjà visités, mais maintenant il était comme le dirait son père dans la plus embarrassante des situations pour un homo scientia, car il ignorait complètement où il était. Partout alentour de lui il y avait des arbres d'une variété qu'il n'avait jamais vu avant, mais il remarqua également un sentier qui menait dieux seul savait où et de plus le voyage lui avait coûté une immense quantité d'énergie. Ainsi avec une partie de son énergie restante il sonda les alentour, mais il ne remarqua rien, pas même un souffle de vent. Il décidât de se reposer un peu au pied d'un arbre le temps qu'il ait suffisamment d'énergie pour voir ce qu'il y avait au bout du sentier. Il s'endormit presque aussitôt et il ne se réveilla que le lendemain dans les alentour de midi s'il en croyait la position du soleil. Il se remit debout et il recommença à sonder les alentours, mais cette fois il remarqua qu'il y avait une présence humanoïde dans les alentours et il utilisa son pouvoir fraichement restaurer pour se transposer au coter de cette présence inconnue, car il voulait savoir où il était, mais il se douta fortement d'être dans un nouveau monde. Il dit d'une voix calme et posée.

- Où sommes-nous exactement?

Cela fais un moment que je marche. Mince alors, j’aurais jurée m’être endormie dans une grotte avec Casi’ ! Et me voilà en pleine forêt, et pas un sentier en vu.

« Casio ? Casio où es-tu ? »

« Kyurü ! »

Une petite créature ailée s’avance vers moi. Je me baisse et la prend dans mes bras.

« Dis donc toi, comment ce fait-il que nous ne soyons plus sur Naos, parce que je le vois bien, j’ai vu aux moins trois sorte de scarabée ! »

« Kyü… »

« Bon, il ne nous reste plus qu’à marcher, si seulement nous… Ha ! »

Je me reculais brutalement et Casio s’envola à toute vitesse en poussant des cris perçant. Quelque chose, qui n’était pas là il y à un instant, venait d’apparaitre à coté de moi. Et après que mon cœur ai raté un battement, je m’aperçu que c’était un homme. Vetu de vêtements foncés, des cheveux de jais et des yeux d'un rouge magnifique. Son visage, par contre, était d'une impassibilité incroyable.

« Où sommes-nous exactement ? »

Pardon ? Les formules de politesse sont en option ?! En plus de ça, j’ai eu une peur bleue ! Et c’est bougon que je le regarde longuement avant de répondre.

« Je n’sais pas. »