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| Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." | |
| Auteur | Message |
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Lain Sanders
Nombre de messages : 362 Collège : Cosmos
| Sujet: Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." Ven 6 Mar - 21:06 | |
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Empty eyes and hazen soul
Nom : On l'a appelé Sanders, il n'avait pas vraiment de nom, au départ Prénom : Lain Âge : environ 16 ans. Fonction : Elève (et OVNI du collège, aussi)Famille : Il y avait Joseph, c'était le père... Il était plus ou moins comme lui. Et puis, il y avait Eva, c'était la mère... Elle non plus ne différait pas, elle avait des moeurs féminin, mais après la prise de la Pillule, on ne voyait que peu la différence... Et puis la soeur, Blanche. C'est celle qui marquait le plus, elle ne prenait pas encore le médicament, elle avait toujours les Stimulations... C'est elle qui provoqua la déchirure... Elle était si belle, si gentille... Pourquoi n'était-elle pas comme les autres?
Description morale : Un gouffre de sentiments... Un gouffre vide, hélas... Lain n'aurait demandé qu'à connaitre toutes ces arcanes spirituelles que l'on apelle émotions et qui permettent aux humains conventionnelles de vivre une vie si active et si mouvementé, il les jalouserait peut-être même un peu (un des rares traits de caractère qu'il ait acquis naturellement...). Pourtant, Lain ne connait pas les émotions. Dans son monde, on ne l'a pas éduqué avec, il n'a pas vécu avec, son esprit est donc à l'image de sa vision du monde: monochrome et calme, lisse, " Comme un champ d'une ineffable paix aux fleurs inexistantes qu'aucun souffle de vent ne vient faire plier". Cependant, Lain, à défaut de connaitre les us et coutumes conventionnels, a une personnalité: il est curieux. Depuis qu'il a pu observer ses premiers humains, il est curieux. Il voudrait en savoir plus sur eux, sur leurs sentiments, la manière dont ils les provoquent et les ressentent... En réalité, il crève d'envie de pouvoir les ressentir, lui aussi... Il veut comprendre. Aussi, il a tendance à réfléchir sur tout ce qu'il voit, car tout est nouveau pour lui. Comme un enfant laché dans la rue, il découvre ce monde inconnu aux couleurs toute neuves. Observant fleurs et êtres avec la joie candide de celui qui apprend la vie dans la douceur. Pourtant, il veut comprendre l'humain, toujours comprendre... Mais y a t-il réellement quelque chose à comprendre?
Description physique : Un physique plat et neutre. Une apparence froide et douce... A vous de voir. A ses yeux, aucune couleur n'était nécessaire, aucune teinte n'existait... Elles lui sont pourtant apparues à son arrivée sur Amarth, mais lui ne changea pas. Toute fantaisie vestimentaire absente de son habillage, il ne porte que des teintes neutres et des vêtements simples. Ainsi la majeure partie de sa garde de robe est constituée de jeans noir et blancs de largeur normale et de tee-shirts et chemises variées allant de l'immaculé à l'ébène en passant par le crème ou le gris. Aucun vêtement n'apporte d'innovation réelle aux autres, on pourrait presque penser qu'il s'habille toujours de la même manière, bien que la forme et la couleur varient légèrement d'un jour à l'autre. Concernant son corps en lui-même, ses cheveux blancs, le plus souvent en bataille, partent un peu dans toute les directions. Son corps dans son ensemble est très légèrement musclé, la conséquence d'un début de vie dans une activité physique régulière, mais sa peau est lisse et diaphane, froide comme de l'eau de source, mais douce comme de la soie. Les traits de son visages sont lisses et dépourvus d'impureté et pourtant, si vide... N'entendez pas qu'ils sont froids ou cruels... Ils sont vides. Ils n'a pas les réflexes que les humains aquièrent durant leur existence, il ne sourit pas lorsqu'il est heureux, ne rit pas lorsqu'il est amusé, ne crie pas lorsqu'il est en colère. Mais peut-être pleure t-il lorsqu'il est ému... Qui sait? A t-il jamais été ému.
Biographie : >>Post suivant
Monde d’où vous venez :Nameless World Appelons-le ainsi puisqu'il n'y a aucun nom réel à ce monde. Dans ce monde, tout est monochrome, plat et régulier. Aucun imprévue, aucune irrégularité, aucun avancement, aucune régression. Les habitants ont tous une tâche à accomplir pour la survie de la communauté, ils l'accomplissent. Ils ont des relations réduites au strict minimum nécessaire à leur développement psychologique à l'enfance. Les adultes ne se parlent pas. A l'âge de 12 ans, tout les enfants doivent commencer à prendre la Pilule, ne riez pas, c'est vrai. C'est un médicament simple annihilant toute stimulations émotionnelles ou sentimentales. Un poison dévoreur d'amour et de haine. Un destructeur de joie et de peine. Ainsi est née le monde de l'Identique. Un monde d'inertie. Origine : Humaines.
College où vous souhaitez aller : Cosmos, n'étant pas particulièrement orienté vers le bien ou vers le mal, sa conscience est vide. La maitrise du vide ne peut donc que lui convenir, puisque c'est tout ce qu'il lui reste. Niveau de perversion jusqu'au quel vous pouvez aller : Je pense que j'aurais pu aller jusqu'au niveau 2 ( je trouve, en soi, assez peu attrayante l'idée de violer quelqu'un par écrit ou de lui faire quoi que ce soit que je ne ferai pas dans la réalité), mais avec un perso pareil, ça ne risque pas d'arriver avant un moment...Autre : far away on the other side...
Pseudo/Surnom/Prénom : Lain Comment êtes-vous arrivés ici : j'ai des contacts dans la hiérarchie... Ce que vous aimez : Écrire, le chocolat, le romantisme (étrange, hein?), le sentimentalisme, le cynisme, lire... Et pas mal d'autres choses, au fond ça vous sert à quoi? Ce que vous détestez : L'illogique (bien que je ne soit pas un modèle de logique, moi-même...) Devise : " l'inexistence est l'ensemble de ce que personne ne sait" Petit message (à n'importe qui) : Je n'ai pas grand chose à dire, mais j'espère que je serais digne de ce forum qui a vraiment l'air accueillant et riche de promesse RPesques.
Dernière édition par Lain Sanders le Mar 10 Mar - 21:41, édité 5 fois |
| | | Lain Sanders
Nombre de messages : 362 Collège : Cosmos
| Sujet: Re: Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." Mar 10 Mar - 21:37 | |
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C'était un jour comme les autres... Tout les jours étaient identiques, dans la communauté, tout était si bien réglé que plus personne n'utilisait de timer. Lain, un parmi tant d'autres, il faisait ce qu'on lui demandait. Il était affecté au nettoyage de la salle du conseil, aujourd'hui. Le conseil était le seul qui avait droit aux livres, ils avaient une étagère qui en était remplie... Autant de livres, quelle idée absurde... Lui avait le règlement de la communauté et un livre d'histoire, les deux ouvrages règlementaires. Les anciens avaient-ils donc tant de règlements à apprendre? Il soupira. C'était délicat de leur part de ne pas leur demander d'apprendre tout ceci, de toute façon, il n'y serait sans doute pas arrivé... Sa tâche accomplie, il sortit de la salle d'un pas égal, il allait rentrer dans sa cellule d'habitation, retrouver Joseph et Eva... Et Blanche. On lui avait rapporté qu'elle avait encore fait une bêtise à l'école, aujourd'hui. Blanche, sa jeune soeur était une enfant très dissipée, d'après les instructeurs, ce que les parents, écrasés de honte, ne songeaient pas à contredire. Qu'avait-elle encore fait aujourd'hui?
Lain se prépara à enfourcher sa bicyclette lorsqu'un son étrange se fit entendre, à quelques pas de lui. Un son infime, rien qu'un murmure. C'était dans un coin, entre deux habitations, étrange... Personne n'aurait dû se trouver là, il y avait des routes qui permettaient de se déplacer, de plus, on risquait de se faire mal, dans l'ombre... Mais le son qui en sortait était vraiment curieux... Inhabituel. Lain s'avança, plantant ses yeux dans le coin sombre, et aperçut une silhouette qui se balançait un pied sur l'autre. Il fit encore quelques pas prudents puis finit par reconnaitre l'individu.
- Attention, Blanche. Tu risque de te faire du mal, si tu continue de te balancer comme ça. Souviens-toi quand tu as trébuché, avant-hier. elle ne répondit pas, le son étrange sortait de sa bouche, il devenait de plus en plus audible, le murmure devenant mélopée. - L'école n'est pas sensée être finie, pourquoi es-tu là? Elle ignora la question, continua de produire ce son inhabituel, irrégulier. - Qu'est-ce que tu veux dire par là? Ce qu'elle disait ne voulait rien dire... Joseph et Eva disaient souvent que Blanche ne travaillait pas assez la précision de son langage. La voix de Blanche ne cessait de monter, il avait l'impression que ce langage étrange résonnait à présent dans toute la communauté, pourtant, les rares personnes qui passaient ne semblaient pas y prêter attention. Peut-être ne l'entendaient t-ils pas? - Arrête. Le son cessa d'être à l'instant même où il le demanda. Sa soeur le regarda, une expression étrange sur le visage. - Que se passe t-il, Lain? Tu n'as pas l'air en forme... - On ne dit pas " en forme"... Elle haussa les épaules, une manifestation de suprême insolence, Lain soupira et tourna les talons, enfourchant sa bicyclette, il se retourna une dernière fois avant de partir. - Retourne à l'école. Mais lorsqu'il commença à s'éloigner, le son recommença, Blanche ne retournerait sans doute pas à l'école. Il pédala le plus vite possible, il devait s'en éloigner... Il sentait les effets de la Pilule s'estomper.
~~~~ le lendemain Blanche allait être élargie. C'était Joseph qui l'avait informé, on l'avait, parait-il, entendu " chanter" dans la rue pendant un moment où elle aurait dû être en cours. Que voulait dire " chanter"? Etait-ce son étrange qui sortait de sa bouche, hier? Pourquoi l'élargir? Blanche ne méritait pas ça... Elle était un peu insolente, mais elle finirait bien par prendre la Pilule et tout irait mieux... Pourquoi on ne la lui donnait pas? Lain demanda à Joseph le matin même, il lui dit de ne plus s'en occuper, Blanche serait élargie le lendemain.
~~~~ quelques minutes plus tard
Lain était allongé sur son lit, les mains en coupe sous sa tête. Il n'avait jamais dit à ses parents qu'il faisait ça, tout les jours, avant de prendre la Pilule, il s'allongeait et sentait ces sensations étranges couler en lui, il repensa au chant, mais le souvenir était déjà en train de s'effacer de sa mémoire, la Pilule était amnésique, ainsi, on ne s'ennuyait jamais. La porte de sa chambre s'ouvrit et Blanche apparut dans l'encadrement, elle referma vivement la porte, voyant Lain en état d'inactivité, ce qui était strictement interdit. Elle s'avança vers lui, une lueur mutine dans les yeux, toujours cette joie enfantine de le surprendre en train de pêcher.
- Ils vont m'élargir. - Je le sais. - Je n'en ai pas envie. - ce n'est pas le problème. - je ne veux pas. - je ne LE veux pas. Surveille ta précision du langage.
Elle exhiba un flacon ambré. Un flacon de Pilules. Il était temps, elle devenait incontrôlable. Lain sentit soudain l'inquiétude lui faire mal au ventre, lui non plus n'avait pas pris le médicament, aujourd'hui. Et l'envie de le prendre devenait de plus en plus discrète... Il tendit la main vers son propre flacon pour prendre sa dose du jour, il ne devait pas désobéir. Mais avant que sa main ait pu se refermer sur la fiole, Blanche l'attrapa, l'ouvrit d'une main et jeta les comprimés, les répandant dans la chambre. On ne devait jamais manger quelque chose qui avait touché le sol.
- Pourquoi as-tu fais ça? - ne prends plus ces choses.
Sa voix avait le ton d'un ordre, Lain s'apprêtait à se lever pour la réprimander lorsque d'un coup, elle se remit à produire le son. A chanter. Et Lain s'immobilisa. Cela dura dix secondes. Dix secondes parmi les plus belles de sa vie. Dix secondes pendant lesquelles il entrevit ce qui pouvait pousser sa jeune soeur dans son élan divin à désobéir. Dix secondes, c'était peu... A peine le temps qu'il faut pour traverser la maison. A peine le temps qu'il fallut à Joseph pour ouvrir la porte et la découvrir. Elle se tut. Un sourire au lèvre, elle soutint son regard.
- Pourquoi fais-tu ça? - Je ne fais rien de mal. - Tu chantes.
Ce mot semblait immonde, dans sa bouche, tant il était chargé de mépris et de dégoût. De honte, aussi. Sa propre fille... Elle chantait... Elle était devenu un danger pour l'Identique, pour l'harmonie et pour l'inertie. Le père articula ses mots avec exagération, comme pour insister sur leur sens.
- Tu seras élargie demain.
Blanche détourna le regard. Elle croisa un instant celui de son frère.
- quand à toi...
Joseph fixa les dizaines de cachets répandus dans la pièce.
- ...Va prendre des pilules le plus vite possible.
... C'est-à dire maintenant... Il ne devait pas rester trop longtemps sans les prendre, c'était un danger pour l'Identique... C'était un danger pour lui-même et pour les autres... Joseph sortit, et le silence revint dans la pièce. Lain se leva à son tour, il devait aller au centre de distribution. Blanche le retint par le bras.
- Je ne veux pas être élargie. Il ne répondit pas. - Je ne serais pas élargie. - Qu'est ce qui te fais penser ça?
Son abdomen commença à se contracter et à se décontracter à intervalles très courts, elle produisait un son aigu. Lain pensa qu'elle étouffait, il s'avança pour l'aider mais elle le repoussa d'une main en reprenant de plus belle. Entre deux sursaut, elle fit.
- Tu ne comprend vraiment rien.
Il fut tenté de répondre que ce n'était pas vrai, qu'il avait compris beaucoup de chose à l'école, presque tout, pour tout dire. Mais pourtant, pas un mot ne sortit de sa bouche ouverte. Étrangement, il pensa qu'elle avait raison. Elle savait quelque chose que ni lui, ni Joseph ni personne ne savait ni même n'imaginait (" imaginer" n'avait, de toute façon, aucun sens à leurs yeux... ), il déglutit difficilement et, quand la porte de la chambre claqua et qu'il se trouva seul, il s'aperçut qu'il avait peur. Il ne bougeait plus et ressentait une appréhension indéfinissable. Pourquoi Blanche? Pourquoi devait-on l'élargir? Lain réfléchit un instant puis sortit, sans autre forme ou expression, sans même un haussement d'épaule. Il ne comprenait rien.
~~~~ Tard dans la nuit
Lain ouvrit les yeux, difficilement. Il était dans un état de conscience inconnu, il se sentait faible, fatigué. Et puis il n'y avait pas de lumière, le jour n'était pas arrivé, comment pouvait-il être éveillé? C'était interdit... Mais il y avait autre chose..., il se leva. Comme dans un rêve, il traversa la pièce et ouvrit la fenêtre. Le chant envahit le monde. Les yeux du garçon s'ouvrirent brusquement de surprise, toute fatigue avait disparue. Il enjamba le montant de la fenêtre (il était au rez-de-chaussée) et se retrouva dehors. Le son était partout, comme une pluie scintillante qui accaparait son ouïe, Lain était émerveillé. Il marcha, plus il marchait, plus le chant résonnait à ses oreilles, plus la vision de l'Identique s'effaçait à ses sens. Plus il marchait, plus il se rapprochait de Blanche. Blanche. Elle était là, au milieu de la ville, déclamant ses vocalises avec une intensité divine, les bras écartés et la tête tournée vers le ciel, dans un irrésistible élan, comme poussée par une inspiration plus forte que tout. Lain s'arrêta devant elle, pétrifié de peur et d'incompréhension. A présent, même un accompagnement semblait résonner derrière sa voix. Sa soeur baissa doucement les yeux vers lui, un ange observant un mortel, son regard d'un bonté infinie l'aurait jeté à terre, s'il n'avait eu si peur. Elle avança vers lui, un pas après l'autre, lentement. Quand il furent tout proche l'un de l'autre, Blanche avança une main vers la joue, pour la première fois, il ressentit le contact d'une peau autre que la sienne, ce fut à cet instant que l'univers explosa. Tout lui apparut un instant, un instant d'humanité où les couleurs furent et où les sentiments jaillirent.
L'Identique disparut autours d'eux, la communauté, les habitations, Joseph et Eva... Tout disparut dans un tourbillon de couleurs, de son et d'odeurs. Ils restèrent immobiles, pris dans ce maelström d'absolue, lui tentant de comprendre, elle ne faisant qu'attendre. Et tout arriva. Le surface solide sous eux se désintégra et l'univers devint blanc. Ils se mirent à tomber, Lain voulut tendre la main pour rattraper sa soeur, il ne voulait pas qu'elle parte... Mais elle s'éloignait déjà dans l'infinie blancheur de la Déchirure. Il commença à fermer les yeux. Mais dans sa semi-inconscience, il put percevoir trois mots, c'était elle qui murmurait. " Je te trouverais...." Et il sombra dans l'inconscience...
~~~~ Present day, present time: Amarth
Lain se réveilla dans l'herbe, au milieu d'une clairière, éclairé par la lumière de l'aube naissante. Un peu étourdi, il se releva. Il regarda autour de lui, où était-il? La communauté était-elle loin d'ici? Que devait-il faire...? Perdu, il était perdu... Il marcha sans but, droit devant lui. La petite once de logique qui s'agitait en lui lui disait qu'il finirait bien par trouver quelque chose. Il trouva Amarth. Dès son arrivée devant le grand bâtiment, on l'informa qu'il était inscrit... Ça n'avait pas de sens, mais il était trop fatigué pour y penser. Une sensation très humaine, la fatigue...
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| | | Lain Sanders
Nombre de messages : 362 Collège : Cosmos
| Sujet: Re: Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." Mar 10 Mar - 21:41 | |
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| | | Silvia Fielding
Nombre de messages : 1221 Société d'Etudes : / Collège : Verto. Cycle : Quatrième cycle. Fiche de Présentation : Marche ou crève. Ses RP : - Un seuil ? avec Société de Verto
- Ca roule ma poule ! avec Jane Grey et Alice
- Be in cage avec Jane Grey et Morwen Aïla
| Sujet: Re: Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." Mer 11 Mar - 14:17 | |
| Le passeur ! Alors il parle finalement ? Il est aussi plus humain que je le pensais... En tout cas j'aime beaucoup ! Je te valide, je te mets le rang, le groupe etc. Tu peux Rp !
[Réserve-moi un RP avec Miyoki ! *o*] |
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| Sujet: Re: Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." | |
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| | | | Lain Sanders "Love, love is a verb. Love's just a doing word..." | |
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