Amarth, votre destinée
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 Alice

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Alice

Alice

Féminin Nombre de messages : 384
Collège : Vita

Feuille de personnage
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MessageSujet: Alice   Alice EmptyVen 1 Oct - 17:51

Votre personnage :

Nom : /
Prénom : Alice
Âge d'arrivée à Amarth : 17 ans
Âge actuel : 17 ans
Fonction : Etudiante
Race : Clone
Monde d’où vous venez : Terre – 2100 ap.JC

College : Vita
Cycle : 2ém cycle
Niveau de perversion jusqu'au quel vous pouvez aller : 6 si besoin est
Autre : Pour ce qui est des pouvoirs, j'ai déjà eu une discussion avec Son Altesse Sérénissime Sissi, et ce qu'Alice peut faire et sa manière de voir le monde sont déjà bien fixé ^^. Je m'excuse par avance du nombre de ligne, j'ai pas vraiment pu faire plus court ^^'.

Description générale :


    3 mai 2100, 17:56:35' 44''


"La ballade des pendus, François Villon, troisième strophe, en françois, commanda l'homme d'une voix neutre."

Les lèvres d'Alice bougèrent seules quelques instants, comme si elle récitait rapidement le poème. Durant ces courtes secondes, son visage resta celui qu'elle arborait toujours : un visge sans expression. Ses yeux semblaient ne rien fixer, sur ses lèvres ne s'étendait aucun sourire ou aucune moue. Elle était de marbre, comme à son habitude. Finalement, d'une voix égale, et sans marquer une seule hésitation, elle récita :

"La pluye nous a débuez et lavez,
Et le soleil desséchez et noirciz:
Pies, corbeaulx nous ont les yeulx cavez
Et arraché la barbe et les sourciz.
Jamais nul temps nous ne sommes assis;
Puis ça, puis la, comme le vent varie,
A son plaisir sans cesser nous charie,
Plus becquetez d'oiseaulx que dez à coudre.
Ne soyez donc de nostre confrarie;
Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre!"

Puis elle se tu et porta son regard sur l'homme devant. Aucune émotion ne s'y reflétait, encore. Elle ne le scrutait même pas. Elle n'attendait aucune félicitation, ni aucun signe de reconnaissance, ni rien. De toute manière, même si elle en avait attendu, rien ne se serait passé. L'homme se contenta de prendre quelques notes sur un calepin devant lui, puis il porta à nouveau son regard sur elle :

"Première phrase de l'introduction du Prince de Machivel."

Il y eût de nouveau quelques instant où les yeux de la jeune fille aux cheveux gris se perdirent dans le vide. Puis elle revint sur ces mots :

"Ceux qui veulent gagner les bonnes grâces d'un Prince ont coutume de lui offrir ce qu'ils sont de plus rare chez eux, ou ce dont ils savent qu'il fait son plaisir ordinaire ; d'où vient qu'on lui présente souvent des chevaux, des armes, des étoffes d'or, et d'autres choses semblables qui méritent de lui appartenir."

Elle se tut à nouveau. L'homme hocha la tête d'un air entendu et nota une nouvelle chose sur son calepin. Puis il la fixa droit dans les yeux pour donner les résultats :

"Bien, ta mémoire semble s'être améliorée. Où en est ta lecture d'Hypérion ?

- J'en ai pour le moment lu 370 pages sur 504, répondit-elle de la même voix exempte d'émotion que celle avec laquelle elle avait réciter les textes.

- Très bien, répondit l'homme en notant cette nouvelle information sur son calepin. Tu peux partir."

Alice inclina la tête, puis se leva. Aujourd'hui, les exercices n'avaient porté que sur l'état de sa mémoire. A priori, elle n'atteignait pas encore un peu point de saturation quelconque, malgré toute les informations qu'on lui faisaient mémoriser. Cela semblait passionner cette équipe d'essayer de la faire atteindre sa limite depuis les 17 ans, 9 mois et 25 jours qu'elle vivait ici. Et elle leur obéissait. C'était ce qu'elle devait faire. C'était ce pour quoi elle avait été faite. On ne lui avait rien caché de cela : elle n'était qu'un sujet d'expérience. Sur insistance de certaines personnes, on lui avait quand même permis de consulter son dossier. Ce qui s'y trouvait ne venait que confirmer ce qu'on lui avit dit.

======================

    8 juillet 2082, 16:54:36' 67''


Le 24ém est arrivé à maturité. Ou plutôt, la 24éme. La 24éme Alice. Ils l'ont prénommé Alice n°24 – SDRE, pour Spatial Database Research Experiment. Comme ses 24 autres soeurs, elle servira également de sujet d'expérience sur la mémoire. Il y a 9 mois jour pour jour, le 8 mai 2081, deux gamètes crées artificiellement pour qu'ils contiennent les gênes sélectionnée s'étaient rencontrés après de complexes opérations menés d'une main de maître par les biologistes. Le sujet d'expérience était maintenant né.

Les hommes ouvrirent le couvercle du caisson et le cri d'une petit fille se fit entendre. C'est bon, tout s'était bien passé. Chaque étape du développement foetale était suivie avec une extrême prudence, encore plus attentivement que dans les meilleure maternité de la République Mondiale. Il fallait aussi dire que ce laboratoire était le fleuron de la recherche scientifique, le seul laboratoire sous le contrôle directe du gouvernement, regroupant les plus éminents chercheurs des cinq continents. La dernière recherche demandée avait été sur une espèce nouvellement découverte : les homo scientia. On ne savait depuis combien de temps ils étaient là et s'étaient mêlés aux humains, mais leur existence était maintenant avérée. Lionel Stuart avait même réussi à démontrer que leur existence était effectivement possible, et que les rumeurs qui se répandait dans la République n'était pas uniquement des élucubrations. Ce fut à partir de ce moment que le Conseil Mondial s'y était intéressé. Mais avant de pouvoir en faire quoique ce soit, il fallait qu'ils arrivent à les comprendre, et que l'on puisse mieux cerner leur pouvoir. C'était la délicate mission à laquelle était chargé ce laboratoire maintenant. Ils avaient d'abord passé de longs mois à interroger ces êtres, mais ils n'avaient rien réussi à en tirer. A priori, le processus qu'ils mettaient en place pour nier l'espace était totalement inconscient. Ce fut alors que l'on proposa de créer un être pour lequel ce processus serait conscient. L'idée paraissait folle au départ, car la mémoire était encore un des domaines les moins maîtrisé, de même que la perception du monde. Mais ils avaient quand même tenté. Ils avaient prélevé des gênes sur certains de ces êtres consentant, puis s'étaient mis au travail.

Ils avaient décidé que ce serait des femmes. Fantasme des hommes, surement. Ils n'étaient que des hommes dans ce laboratoire. La lubricité refaisait bien surface de temps à autre. Ils avaient fait de nombreux essais, tous plus ou moins fructueux. Mais celle-ci était la bonne. Il n'y avait aucune erreur possible, elle serait celle qui y arriverait. Elle leur ferait comprendre ce mystère. L'enfant prodige était né, et il poussait son premier cri.


======================

    3 mai 2100, 18:00:44' 6''


Bien entendu, de cela, elle ne s'en souvenait pas. Une des choses certaines sur la mémoire est que l'on ne gardait aucun souvenir des évènements qui nous étaient arrivés en bas âge. Et ce, même avec tout l'art qu'ils pouvaient développer, aucun neurobiologiste n'avait réussi à y pallier sur leurs sujet d'expérience. Sa mémoire débuté à l'âge de trois ans, quatre mois, sept jours, 22 heures et 23 minutes. A l'époque, elle n'avait encore vraiment conscience des secondes, aussi celles-ci n'était pas inscrites dans sa mémoire. Elle avait calculé cet âge en connaissant la date et l'heure de son premier souvenir. A partir de là, elle se souvenait de chaque instant de sa vie avec une grande précision. La mémoire eidétique. Ils en avaient profité pour l'étudier, en plus des pouvoirs de ces êtres. Tous les évènements étaient classé avec une grande précision. Elle les voyait comme une sorte de tableau, de base de donné. C'était sa manière d'appréhender la réalité, celle que lui avait inculqué les scientifiques. Pour elle, les souvenirs était comme un immense tableau où étaient indexé tous les évènements, chacun d'entre eux étant lié à une date et un lieu. Elle parcourait cette matrice comme elle parcourait celle de la réalité, avec la possibilité de la modifier, comme pour celle de l'espace.

Car oui, c'était ainsi qu'agissaient les gênes dont elle était l'héritière. Elle pouvait effectivement se déplacer dans l'espace, comme le faisait les homo scientis. Mais elle était quand même différentes. Selon les quelques témoignages qu'elle avait pu lire entre deux expériences, ces derniers percevaient les trois dimensions d'une manière très particulière : pour eux, elles n'étaient qu'une illusion, et ils s'en affranchissaient librement. Alice ne parvenait pas à comprendre cela. Les trois dimensions étaient bien réelles ! Preuve en est : quand elle voyageait à travers la matrice spatiale pour en modifier les donnés, la place des choses étaient donné selon trois coordonnés objectives en x, y et z, selon un repère dont l'origine était le centre de l'univers, repère le plus absolu que l'on puisse envisager. Il en était de même pour ce qui était de leur vitesse et de leur accélération. C'était par ailleurs aussi ainsi qu'elle appréhendait ses capacités : elle pouvait définir la réalité sous la forme d'une Matrice, dans laquelle elle avait les droits de modification pour ce qui était des donnés spatiales. Certaines de ses soeurs avaient d'autres droits. Mais elle n'en savait pas plus : elle ne les avait jamais rencontrées et leur dossier étaient confidentiels. Une fois que les donnés étaient modifiées, il suffisait d'uploader la Matrice formée, qui remplaçait alors celle de la réalité, prenant en compte les nouvelles donnés. Cela lui semblait tout naturel.

Ce faisant, elle avait finalement atteint son studio. On lui fournissait un petit lieu de vie dans l'International Scientific Complex, afin qu'elle puisse dormir où au moins qu'elle puisse être un peu isolée quand elle le souhaité, même si la porte restait toujours ouverte... La chambre était vide, froide, à l'image de son occupante. Il n'y avait qu'un évier, une plaque chauffante, un frigo, quelque placard, dont un pour ranger ses vêtements, les autres étant consacrés à la nourriture, un bureau surplombé d'un miroir et un lit. Dans une petite pièce à côté contenait une simple douche et un lavabo. Rien ne semblait laisser présager une quelconque occupation humaine. Elle se dirigea vers le bureau et pris un livre posé dessus, tirant la chaise pour s'y assoir. Se faisant, son visage se refléta brièvement dans le miroir. C'était un visage fin, qui n'aurait pas été désagréable à regarder s'il avait montré ne serait-ce qu'une trace d'émotion. Ses long cheveux blancs était noués par un simple ruban derrière sa tête. Cette pâleur accentuait la couleur violette que les lentilles donnaient à ses pupilles. Un des scientifiques qui devait la considérer un peu autrement que les autres les lui avaient offert un jour, un de ces moments où le cycle des années rencontrait le jour où l'écart entre celui-ci et celui où elle était née se comptait exactement en année. Peut-être pour cacher son regard si froid... Si c'était le cas, cela n'avait pas marché. Mais il semblait content quand elle les portait. Alors elle le faisait. Et elle avait fini par en prendre l'habitude.

Ce dernier homme avait presque réussi à lui faire changer le point de vue qu'elle avait toujours eu sur les relations humaines. Bien qu'elle ait toujours lu, même si ce n'était que pour le travail, elle avait toujours su que tout ce qui était dit dans les livres n'étaient qu'inventions de la part de l'auteur. Si le monde lui même n'était qu'invention, qu'en était-il du reste ? La seul chose dont elle pouvait être sûr est qu'elle ne pouvait pas s'y fier pour comprendre le monde, ou même les hommes qui l'entourait. Les sentiments étaient quand même quelque chose qui l'avait intrigué. Ce n'était pas des choses totalement fausses, car il lui était déjà arrivé de ressentir quelques choses. Mais quand elle avait posé la question, on lui avait dit que c'était des choses inutiles avec lesquels il ne fallait pas s'embarrasser, et que c'étaient des choses très surfaites dans les livres. Alors elle s'était afféré à les ravaler, les renfermer, et les oublier. Elle ne devait pas s'en embarrasser, alors autant les oublier. Elle avait appliqué cela au mieux. Et il semblait que tout le monde s'en portait mieux ainsi. Avec le temps, c'était devenu une habitude. Peu à peu, elle avait oublié comment ressentir ce que l'on appelait les sentiments. Elle s'en était totalement détaché. Une question l'avait tout de même gardé en interrogation longtemps : quid de la reproduction ? Mais finalement, la réponse était venue...

La porte s'ouvrit derrière elle. Elle leva les yeux de son livre et tourna lentement la tête pour voir entrer un des scientifique du laboratoire de recherche affilié à l'étude de ses capacités spatiales. Ils échangèrent un regard. Alice rebaissa les yeux sur son livre, le ferma, puis se leva. Ce faisant, elle commença à ouvrir la fermeture qui maintenait sa robe. Une fois nue, elle s'allongea sur le lit et attendit. A part les cheveux et les sourcils, son corps était totalement imberbe. Son visage gardait la même absence d'expression que toujours. Ce qui allait se passer ne l'affectait absolument pas. Cela s'était passé des dizaines de fois depuis qu'elle avait eu la réponse à cette question. Cela ne l'avait jamais affecté. C'était normal, c'était ainsi que ça devait se passer.


======================

    6 août 2094, 13:34:56' 14''


Un des chercheur lui avait demandé de le rejoindre dans son bureau. Elle avait passé une batterie de test le matin même, couvrant déjà un domaine assez large de ses capacités. Elle commençait à assez bien maîtriser le voyage matriciel. Au moins suffisamment pour arriver à modifier correctement les donnés de petits objets sur de petites distances. C'était déjà bien. On ne comptait plus le nombre de billes perdues au beau milieu de l'espace car elle avait oublié de prendre en compte le déplacement de la Terre, du système solaire ou même de la galaxie... Mais maintenant, c'était bon, elle y arrivais presque à coup sûr. Les études commençaient donc réellement. Que cet homme lui demande de venir maintenant lui semblait quand même bizarre.

Elle ouvrit la porte en rentra. L'homme releva la tête de ses papiers, dans lesquels il semblait chercher frénétiquement une information qu'il ne parvenait à priori pas à trouver. Il lui sourit. D'une main maladroite, il mit les papiers en tas dans un coin du bureau, puis lui fit un nouveau sourire un peu crispé puis signe de s'assoir. Puis il prit la parole d'une voix un peu nouée :


"Bien... Heu... Nous allons faire une expérience... un peu spéciale. Mais il faudra que tu n'en parles à personne, d'accord ?"

Elle hocha la tête. Elle savait que certaines expériences qui étaient faites ici ne devait pas sortir des murs du complexe. Mais qu'elle ne doive pas en parler à d'autre scientifique, cela lui semblait un peu étrange. Mais peut-être que c'était une expérience très spéciale demandé directement par le gouvernement... Ou quelque chose comme ça... C'était possible. Enfin, de toute manière, elle n'avait pas bien d'autre choix que d'accepter.

"Bien, bien, dit l'homme en réponse à son hochement de tête."

Il se leva et se retourna.

"Déshabille toi."

Alice resta quelques instants immobile. C'était la première fois qu'on lui donnait un tel ordre. C'était habituel qu'on lui demande des choses bizarres, mais elle n'avait jamais du se déshabiller. Mais c'était pour l'expérience. Elle ôta sa robe et ses sous-vêtements (sa poitrine commençaient doucement à naître), puis, de la même voix exempte d'émotion qu'habituellement :

"C'est fait."

L'homme se retourna et lui sourit à nouveau. Mais son sourire n'était plus vraiment amicale. On l'aurait plutôt dit un peu féroce. Alice ne broncha pas. Elle avait une idée de ce qui allait arrivé. Elle savait comment les humains se reproduisaient, et savaient qu'elle n'était pas encore apte à porter un enfant. La seule chose qui la questionnait, c'était pourquoi l'homme ne lui avait pas dit directement. Ces hommes étaient habituellement des gens francs. Elle trouvait étrange que d'un seul coup ils ne le soient plus. L'homme reprit la parole, tentant sans grand succès d'avoir une voix douce :

"Va t'allonger sur le canapé et laisse moi faire maintenant. Tu verras, ce ne seras pas long."

Elle hocha la tête et s'y dirigea. Alors qu'elle avait le tourné, elle entendit comme le bruit d'une ceinture que l'on défait. Cela confirmait ses hypothèses, mais ne répondait pas à sa question. Bah, elle l'aurait peut-être plus tard. Elle s'allongea sur le canapé, essayant d'être installé le plus confortablement possible. Puis le chercheur arriva. Il avait ôté son pantalon. Doucement, il s'allongea sur elle. Ce qui l'étonna le plus durant le temps où il resta là, ce fut les réactions de son corps. Elle restait totalement lucide, mais c'était comme si son corps ne lui obéissait plus exactement totalement. Sa respiration était un peu plus brève, et, de temps à autre, ses muscles se contractait sans qu'elle ne l'ait voulu. Elle enregistra ces donnés. Peut-être pourrait-elle lui servir plus tard.

Une fois qu'il eût, il lui dit de se rhabiller et la congédia brièvement. Il semblait avoir un peu honte... Encore un sujet d'interrogation et de recherche potentiel. Finalement, même s'il lui avait de se taire, et qu'elle lui obéit strictement, il ne dût pas faire de même de son côté, car à partir de ce moment, des hommes vonrent régulièrement la voir afin de satisfaire leur appétit. Elle supposa que ce devait en être de même pour ses soeurs. Au bout d'un moment, elle dut bien veiller à prendre des contraceptifs. Les biologistes semblaient ne pas avoir pensé à cette possibilité. Et avoir un enfant maintenant et ici ne lui semblait pas une bonne idée. Cela n'aurait surement fait que perturber le rythme des expériences.


======================

    3 mai 2100, 18:45:36' 16''


Celui qui était venu la voir avait pris son temps, cette fois-ci. Il n'avait pas voulu utilisé de lubrifiant. Alice ne parvenait pas à comprendre ce que cela changeait. Les humains étaient si compliqué parfois. Des fois il lui demandais de porter une tenue particulière, des fois il lui demandait de se mettre dans une posture particulière, parfois les deux à la fois. Et il y en avait qui voulait des choses parfois encore plus étrange. Mais finalement, tous faisaient leur affaire et repartait sans un mot, la laissant juste un peu essoufflée sur le lit.

C'était ainsi qu'elle était à présent, enveloppé dans un drap. Elle aimait bien rester ainsi quelques instants après qu'ils aient fait ce qu'ils voulaient faire. Elle se sentait assez bien nue. Un peu comme si elle était plus libre, plus légère. Pourtant, ce n'est pas le poids des vêtements, négligeable devant le sien, qui pouvait vraiment causer cette différence. Elle ne comprenait pas vraiment cette sensation. C'était étrange. Dans tout les cas, elle aimait bien rester ainsi, allongé dans un simple drap.

Ce fut alors qu'un étrange bruit retentit devant elle. Comme un déchirure, amplifier plusieurs dizaines de fois, auxquels on aurait mis un effet d'écho énorme et qu'on aurait étiré sur un temps infini. Elle se redressa doucement. Devant elle se tenait comme une faille, noire, qui béait au milieu de la pièce. Ce n'était pas normal.


"SELECT unknown_element FROM room_database, dit-elle doucement."

Un mot suivit de chiffres en mouvement s'afficha devant ses yeux, comme par dessus le monde qui l'entourait :

"Downloading... 35%... 56%... 75%... 100%"

Puis une table pris la place des mots. Un titre, une ligne, trois colonnes. Mais ces donnés étaient totalement incohérentes. Elle ne disait rien. Elle ne variait même pas. Comme si ce qui se trouvait devant elle ne bougeait pas. En pourtant, il ne pouvait pas être immobile par rapport au centre de l'Univers, sinon, il ne serait déjà plus devant elle. C'était la première fois qu'une telle incohérence dans les donnés arrivaient. Et ce n'était en plus pas la seul. Puis la faille s'avança vers. Elle resta immobile. Elle ne pouvait de toute manière rien faire en attendant. Même les trou noir avait plus de cohérence que ce qui se trouvait devant elle. Face à quelque chose qu'elle ne connaissait pas, elle ne pouvait qu'attendre de voir ce qui allait se passer. Peut-être que cette expérience intéresserait les chercheur par la suite. Puis le faille l'engloutit. Et tout fut noir.

Vous


Pseudo/Surnom/Prénom : je crois qu'on me connais par ici :p. Si vous en voulez plus, allez voir la description d'une certaines Chi, z'avez qu'à rajouter un nom à la liste :p. Ah, et Audrey A.S Calloway également :p.
Comment êtes-vous arrivés ici : cf Chi :p
Ce que vous aimez : cf Chi
Ce que vous détestez :cf Chi
Devise : In echecos videmus qui ducere debent.
Petit message (à n'importe qui) : Récitons notre Credo tous en coeur :
Il n'y a d'autre dieux que Suzumiya Haruhi et Holo, et Nagato Yuki, Kyon, Asahina Mikuru, Koizumi Itsuki et Lawrence Craft sont leurs prophètes.

Si vous me cherchez, je suis déjà loin :p.


Dernière édition par Alice le Sam 2 Oct - 21:10, édité 2 fois
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Ren Heïshé

Ren Heïshé

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MessageSujet: Re: Alice   Alice EmptyVen 1 Oct - 19:13

(re)Bienvenue!! (c'est définitif, je n'aime pas ce "e" à la fin de "bienvenue")

Ensuite ... Qu'elle histoire étrange ... =.="

Mais bon! Hors mis une grosse faute : à un passage, tu as mis [verbe]-é au lieu de sa bonne conjugaison mais je ne sais plus trop où précisément ... tout va bien, il y a tout!

Donc, tu es validé!

Bon, bon je te passe la phrase habituelle de bienvenue vu que tu n'es pas nouveau, et n'oublie pas toutes ces petites choses à faire avant de RP! ^^

Bonne nuit!! =D
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Alice

Alice

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MessageSujet: Re: Alice   Alice EmptyVen 1 Oct - 20:30

Etrange ? Tant que ça ?

Sinon, je vais chercher la faute x).
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Silvia Fielding

Silvia Fielding

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Collège : Verto.
Cycle : Quatrième cycle.
Fiche de Présentation : Marche ou crève.
Ses RP : - Un seuil ? avec Société de Verto
- Ca roule ma poule ! avec Jane Grey et Alice
- Be in cage avec Jane Grey et Morwen Aïla

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MessageSujet: Re: Alice   Alice EmptyDim 6 Mar - 10:26

Fiche déplacée.
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MessageSujet: Re: Alice   Alice Empty

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