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| Sujet: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Mer 16 Sep - 17:13 | |
| Votre personnage :
Nom :Goldwin Prénom : Elisabeth Sophia. Âge : 15 ans Fonction : Elève. Race : Humaine. Monde d’où vous venez : La Terre.
Collège : Cosmos. Cycle : 2. Niveau de perversion jusqu'au quel vous pouvez aller : 3. Autre : J'adore mon vava ♥
Vous
Pseudo/Surnom/Prénom : Elisabeth / Marion. Comment êtes-vous arrivés ici : Bah vu que c'est mon deuxième perso je connais =) Ce que vous aimez : Lire, lire et écrire. Je lis en ce moment Honoré De Balzac =) Et je joue du piano. Ce que vous détestez : Me répéter xD Devise : " L'amitié finit parfois en amour, mais rarement l'amour en amitié. " ( J'suis dans un trip rose bonbon depuis quelque temps... N'essayez pas de comprendre pourquoi xD ) Et aussi " La sensibilité, c'est la finesse de l'intelligence mêlée aux sentiments. " Dixit mon prof' de français. Petit message (à n'importe qui) : Merci beaucoup à Egos Sephiroth pour avoir trouvé le nom du perso ♪
La description vient ensuite =) |
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Mer 16 Sep - 17:38 | |
| Description générale
Autour de moi, tout est rigoureux, tout est précis, tout est figé. Ma vie même est cadrée d'une minute à l'autre, je suis empêtrée dans des courtoisies hypocrites et des cérémonials longs et ennuyeux. Combien donnerai-je pour vivre dans un petit studio riquiqui, avec un parent maxi et une liberté totale ! Combien préfèrerai-je être pauvre et faire ce que je veux ! Je préfèrerais tout comparé à ma vie. Je ne supporte pas ça.
Je vis dans un contexte luxueux. Mes parents ont tout ce qu'il faut pour vivre et même bien plus. Bien trop. Mes géniteurs font partie de l'aristocratie qui règne dans cette ville. Mon père a un titre de noblesse qu'il traîne depuis des générations, ma mère vient d'une famille de coincés : ils sont faits l'un pour l'autre. Je n'arrive même pas à les envier, alors qu'ils sont fous amoureux : ils sont trop obsédés par l'argent, et ne réussissent pas à se suffire à eux-mêmes. Alors, ils organisent de larges réceptions où tous les bourgeois du coin festoient avec du champagne et des toasts au caviar ( perso, ce truc est dégoutant ).
Pour ma part, j'évite au maximum ces réceptions. Jusqu'à l'âge de dix ans, à peu près, je me suis tenue tranquille. J'appréciais porter de jolies petites robes roses, avoir les cheveux longs et bouclés par le coiffeur chez lequel j'allais régulièrement ; avoir tous les jouets dont je rêvais, même un poney à une certaine époque. Mais j'avais fini par tomber, et je ne voulais plus en faire. Mes parents avaient revendu ce pauvre poney. A l'époque de la puberté, tout doucement, j'avais changé. Je me sentais à l'écart de mes camarades au collège, on me traitait de bourge, je ne pouvais pas aller chez les rares amies que j'avais parce que " c'est sale chez eux ". Mes tenues étaient imposées, et tous les jours posés sur le dossier de la chaise de mon bureau impeccable. Ma chambre était tous les jours rangée et aspirée par une femme de ménage. Je pouvais même passer un doigt au dessus des étagères sans y détecter un seul mouton de poussière.
Ça me rendait et ça me rend encore folle. J'ai fini par m'opposer aux vêtements : avec mon argent de poche faramineux, je me suis achetée tout une panoplie d'habits gothiques. Avec mon teint pâle et mes cheveux noirs, le résultat est tout simplement magnifique. Et mes parents ont eu beau tempêter, râler - le terme est inexact puisque je n'ai jamais entendu ma mère hausser le ton - j'ai tenu bon et persisté. Ils ont alors haussé les épaules, persuadés que ça me passerait. Trois ans plus tard, la " crise " ne passe pas. Je ne porte plus que du noir ou du blanc, avec du mascara et un soupçon de crayon. Mon look fait envie aux jeunes marginaux ; j'aime m'associer avec eux après les cours. Nous parlons ensemble, nous nous comprenons. J'ai l'esprit un peu tordu, eux aussi. Un échappatoire de ma vie de tous les jours.
Ma mère veut que je consulte un psychiatre. Quelle bonne blague ! Mais elle insiste. Car je m'habille en noir ; puisqu'elle a retrouvé quelques feuilles à fumer dans ma chambre qui ne sont pas des cigarettes ( quel ado n'a jamais fait ça un jour ? ) ; puisque je n'ai pas d'amis ( superficiels et immatures : pouah ! ) et que je ne suis jamais à la maison. Je me braque d'avantage. Je n'ai aucune envie de voir ce psy. Je me braque d'avantage contre ma mère qui ne comprend toujours pas. J'accumule ma rancœur, mon dégoût. Je la hais, tout comme je me hais d'exister. Je ne lis pas, je n'écoute pas particulièrement de musique, je n'ai aucune passion, aucun avenir, aucun but... Puis un jour...
C'était une journée aussi banale que les autres. J'étais particulièrement gothique, ce jour-là. Mon mascara était noir et mes ongles aussi. J'avais laissé mes cheveux pendre dans mon dos, formant parfois un rideau sombre devant mes yeux. Un nouveau était arrivé dans la classe. Un caïd. A la récré de dix heures, il m'avait interpellée.
" Eh, la sorcière ! Oui, toi, là ! Viens par ici !
Machinalement, je l'avais suivie, un peu intriguée.
- Pourquoi tu t'habilles tout en noir ? - A ton avis ? Et toi, pourquoi es-tu si con ? "
Il n'avait rien dit. J'avais filé. Le lendemain, il m'avait attrapée, par le bras. Il m'avait coincée par le bras, m'avait ouvert la bouche. Dans sa main, une araignée. Je hais les araignées. J'avais essayé de refermer la bouche, mais il me tenait bien trop fermement la mâchoire. J'avais paniqué. De mes yeux ébahis, je l'avais vue enfourner cette monstruosité dans ma bouche. J'avais hurlé, puis vomi. Il était parti rejoindre les autres. Je m'étais cachée dans les toilettes, nettoyant ma bouche, encore, et encore. Puis, je m'étais enfermée dans une cabine, et j'avais attendu la fin de la journée, en pleurs. J'étais sortie in extremis, avant qu'ils ne ferment le collège, puis j'avais cherché une rue bien fréquentée par des voitures. Enfin, j'avais trouvé. Une grosse avenue où passaient les bus et les camions. Super.
J'avais attendu le moment propice, exhumant ma haine et mon dégoût. Une voiture. Noire. Je m'étais jetée sur la rue, appréciant le contact du sol, puis plus rien. Absolument plus rien.
Je suis restée dans le coma quatorze jours. Au quinzième, je me réveillai. Un vrai miracle. Il n'y a personne dans ma chambre. Je m'en doutais. Je vis tout de suite les nombreux tubes qui me retiennent en vie. Si je les enlève... ? Alors que je m'apprête à mettre en exécution mon plan, je vis un mini-cyclone parsemé de particules noires se former dans ma chambre. Je me sentis aspirée par elles, d'une façon irrésistible. Je me détache de mon enveloppe corporelle pour y rentrer toute entière. Des bip-bip de plus en plus rapides me parviennent. Puis, un long bip. Je me sens toute drôle. Vite, vite, j'entre dans la sphère, j'y plonge avec joie... Je me sens aspirée... Me voilà à Amarth. |
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Lun 21 Sep - 17:20 | |
| Finiii |
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Silvia Fielding
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Mar 22 Sep - 16:41 | |
| Bonjour Morwie chérie !
Je ne vois rien à redire dans ta fiche, tu es donc validée ! =D (Les suicidaires se multiplient dis-donc... ça devient grave xD)
Je t'évite le baratin de conseils et de choses à faire et j'espère que tu feras un bon RP avec Liz' ! |
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Silvia Fielding
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Mar 27 Oct - 21:09 | |
| Sujet verrouillé et déplacé. |
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Silvia Fielding
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. Dim 6 Mar - 10:30 | |
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| Sujet: Re: Elisabeth Sophia Goldwin - Rien que ça. | |
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