Hey ! ^^
Nom : Fushino
Prénom : Kaede
Âge : 16 ans
Fonction : On a le droit d'être un p'tit lapin mais pas rose ? x'D bon . . . Elève, alors ^^
Famille : Sa mère est morte à la naissance de Kaede, à cause d'une complication. Son père, Yosuke, à toujours essayé d'être en même temps le père et la mère de la petite fille mais il n'a pas vraiment réussi. Ayant un autre enfant, un fils, Denzeru, de quatre ans l'ainé de Kaede, il s'est retrouvé avec deux enfants en bas âge. Il a été un père exemplaire mais il n'avait pas la force d'être également une mère. Je ne lui cherche pas des excuses mais il faut avouer qu'élever deux jeunes enfants seul doit être compliqué, alors si en plus on vient de perdre la seule femme qu'on a jamais aimé, c'est presque mission impossible. Kaede et son frère se sont toujours très bien entendu. Ils ont mûrris peut-être un peu tôt, parce qu'ils voyaient que leur père n'en pouvait plus. Denzeru a toujours prit soin de sa soeur, il la protégeait et s'en occupait autant qu'il pouvait. On ne sait pas grand chose sur le reste de la famille. Il n'y a ni oncle, ni tante, et les grands-parents sont morts même avant la naissance de Denzeru.
Description morale : En apparence, Kaede a l'air très douce. Elle a l'air d'une fille, plutôt à l'aise avec tout le monde, qui aime bien se rendre utile. Plutôt sociable et bonne-vivante, elle n'a pas l'air d'être froide, terne. On dirait qu'elle apprécie la vie à sa juste valeur, qu'elle se satisfait de ce qu'elle a. Mais au fond d'elle, elle bouillonne. Ses sentiments s'entremêlent frénétiquement. C'est quelque chose qu'elle ne peut pas contrôler, qu'elle n'arrive pas à extérioriser, et dont elle ne connait pas l'origine. Elle est d'une sensibilité à fleur de peau, elle peut se mettre dans tous ses états, pour quelque chose de ridicule, sans importance. De la même façon, il lui arrive de rire toute seule, pour quelque chose qu'elle est la seule à trouver drôle. Bien qu'elle évite de le montrer, elle change très rapidement d'humeur. Elle peut rire, et la seconde d'après, à cause d'un souvenir, d'une image, d'un son ou d'une odeur, elle peut soudain se sentir mal, anéantie. Elle ne dévoile pas ce qu'elle pense, ce qu'elle ressent, pour la simple raison qu'elle ne veut pas être un poids pour les autres. Pourtant, elle se sent fausse. Elle a l'impression de mentir constamment, de faire semblant d'être quelqu'un d'autre. Mais c'est sans importance. Étant une fille qui pense d'avantage aux autres qu'à elle, tout ce qu'elle fait c'est pour apercevoir ne serait-ce qu'un sourire, alors elle s'efface, sans regrets.
Sans être extravertie, Kaede n'est pas non plus d'une timidité maladive. Bien qu'elle soit plus ou moins impressionnée par les autres, plus particulièrement ceux qu'elle ne connait pas, elle sait parler quand il faut. Il lui arrive même, quand elle est dans un de ses rares mauvais jours, de dire quelque chose de blessant, qu'elle finit par regretter. Même si ça ne lui est jamais arrivé, elle est persuadée que, malgré sa gentillesse, son envie de trouver le meilleur en chacun, elle saura se défendre si jamais elle se sent agressée, blessée. Elle aime tout donner aux autres, sans jamais demander quelque chose en retour, mais elle n'a jamais vraiment connu quelqu'un, et personne ne la connait réellement non plus. Elle n'a que des connaissances, pas vraiment d'amis, et pourtant, elle donne déjà tout ce qu'elle a, c'est a dire plutôt peu, juste de sa personne. Elle ne s'aime pas vraiment, disons qu'elle se supporte avec difficulté, alors, pour s'oublier, elle se préoccupe des autres. Elle est très, peut-être même trop naïve. Non pas qu'elle s'imagine que tout est tout beau tout rose, d'ailleurs, elle n'aime même pas le rose, mais elle pense qu'un monde utopique est possible. Elle fait ce qu'elle peut pour y arriver, sans faiblir.
La jeune Kaede n'est pas très cultivée, sans pour autant être une idiote. Le problème, c'est qu'elle n'a jamais été vraiment curieuse, elle évite de poser trop de questions aux autres, sur eux, sur la vie. Elle n'est pas insistante, elle ne force personne à accepter son aide. Elle ne le propose même pas, elle attend juste que le bon moment se présente. C'est quelque chose d'étrange parce qu'elle s'en pose à elle-même peut-être beaucoup trop. Ce serait peut-être idiot de dire qu'elle est une grande "torturée dans l'âme" mais ce n'est pas loin de la vérité. Si elle aime tant protéger les autres, être à leur écoute, les aider, c'est pour ne pas avoir à le faire avec elle-même.
Description physique : Kaede est une adolescente de taille moyenne ou un petit peu plus grande. Elle ne s'est pas mesurée depuis longtemps mais elle doit faire environ 1m75, probablement. Elle ne s'est également pas pesée depuis longtemps mais, à première vue, je dirais qu'elle doit faire une soixantaine de kilo, tout au plus. Fine et élancée, sa taille n'est que peu marquée et sa poitrine est un tout petit peu trop petite à son gout. Elle n'a pas beaucoup de formes et, au fond, elle s'en fout royalement. Son physique n'a pas une grande importance pour elle. Au moins, elle n'est pas comme toutes ces filles qui se demandent ce qu'elle vont porter le lendemain. Presque tout lui va. Bon, elle a une légère préférence pour les robes (dans les tons pâles en général, mais il lui arrive de changer, en fonction de son humeur, de ses envies) mais, au risque de me répéter, ça non plus, ça n'a pas une grande importance pour elle. Quoi ? Vous voulez aussi que je décrive ses chaussures ? Elle ne porte presque que des espèces de ballerines. Il lui arrive également de mettre des baskets, quand elle sait qu'elle va marcher pendant un moment, ou d'autres choses comme ça. Elle porte également une écharpe ou un foulard, appelez ça comme vous voulez. C'est un genre d'objet fétiche, elle le porte même en été. Mais à part ça, il n'y a rien d'autre. Elle évite le superflus. Elle ne se maquille que très rarement. Il n'y a que ses ongles qu'elle prend le temps de soigner. Elle se plait à les vernir de n'importe quelles couleurs, les alternants et les mélangeant même parfois. Elle n'a aucune bague, aucun autre bijou d'ailleurs, ni aux poignets, ni aux oreilles, au cou ou à la cheville. Elle préfère de loin le naturel. De la même façon, elle n'attache jamais ses cheveux châtains clairs, mi-longs. Sa frange voile ses grands yeux verts frangés de cils noirs. Son nez, plutôt banal, n'a rien de caractéristique. Il s'agit seulement d'un nez. Par contre, sa petite bouche rose, légèrement pulpeuse, est plus digne d'intérêt. Elle prend souvent des petites moues assez amusantes. Et puis il y a également ce petit sourire sincère qu'elle arbore à chaque fois qu'elle croise quelqu'un.
Biographie : Yosuke, un homme d'une trentaine d'années regardait, effaré, un médecin en blouse blanche s'approcher de lui, l'air grave. Avant même qu'elle ne lui adresse la parole, il savait ce que l'expression de son visage voulait dire. Il inspira profondément, serrant contre lui son petit garçon de quatre ans. Le médecin lui annonça le décès de sa femme, mais il ajouta que sa petite fille était née en bonne santé. Il ne pourrait cependant pas la voir avant quelques heures mais s'il le voulait, il pourrait... L'homme n'écoutait déjà plus. Il s'en doutait, mais cette nouvelle l'anéantit. Sa femme... Elle était partie. La seule femme qu'il avait jamais aimé. Comment allait-il faire, sans elle ? Après quelques secondes, il se reprit. Il essuya rapidement une larme égarée sur sa joue et s'accroupit devant son fils. Ce dernier, en larmes, se jeta au cou de son père, qui ne savait que faire à part répéter des mots rassurants comme "Ne t'inquiètes pas, ça va aller...".
Après un peu plus d'une heure, il eut enfin le droit de voir sa femme et sa fille. Il prit le petit bout d'chou dans ses bras. Il se souvint du dernier prénom que sa femme avait proposé, sur la route de l'hôpital : Kaede. La petite dormait à point fermé, d'un sommeil paisible. Il l'aimait déjà. Il esquissa un faible sourire. Elle était aussi adorable que sa mère. Yosuke posa finalement les yeux sur le corps sans vie de sa femme. Son regard se voila et il ferma les yeux. Un vide grandissait dans son cœur. Quand il ouvrit les yeux, il chercha son fils du regard. Il le vit, encore tout sanglotant, s'agrippant à la main de sa maman. Yosuke décida qu'il vivrait pour eux. Il les aimerait et les éduquerait, il ferait à la fois le père et la mère.
Kaede, 3 ans. Ce jour là, c'était la rentrée. La petite fille allait, pour la première fois, quitter sa maison, son père et son frère en même temps. Un peu inquiète mais voulant faire plaisir à son père, elle entra dans l'enceinte de la petite école de son plein grès. Son père se surprit à se sentir vraiment soulagé, et se sentit coupable ensuite. Mais, comme pour se convaincre lui même, il se répétait que ce n'était pas si facile d'élever seul deux enfants, et qu'il était fatigué, et qu'il avait besoin de repos, et que c'était trop difficile et que... Stop. Il s'en était bien sortit jusque là, ce n'était pas maintenant que ça allait changer. Mais quelque chose le tracassait... Il espérait pouvoir repousser ce moment, encore et encore, mais finalement, ça arriva plus tôt que prévu. Alors qu'il ramenait sa fille à la maison, elle lui demanda, de sa petite voix tremblante et sa mine toute triste :
" Papa ? Elle est où ma maman à moi ? "
Kaede, 6 ans. Yosuke se reposait de plus en plus sur Denzeru. Il n'arrivait plus à s'occuper de sa fille. Ses questions incessantes et ses pourquoi à répétition avait le don de le mettre au rupteur. Il ne voulait pas s'énerver contre elle, et son fils semblait prendre à cœur son rôle de grand frère, alors il en profita. Denzeru, du haut de ses dix, adorait se rendre compte qu'il savait tout un tas de choses, et qu'il pouvait les transmettre à sa petite sœur. A chaque fois qu'il s'apprêtait à répondre à une quelconque question, il prenait un air de savant et parlait avec les mots les plus recherchés qu'il trouvait dans son vocabulaire, sous le regard brillant de curiosité de la petite fille.
Kaede, 11 ans. La jeune fille était au collège depuis un peu plus d'un mois. Elle avait l'impression que de grands changements se produisaient dans sa vie. Elle avait envie d'en parler, mais pas à son père. Son premier choix était évidemment son frère, avec qui elle s'était toujours très bien entendue, mais ce n'était pas possible. Il avait quinze ans, il était en pleine crise d'adolescence, et il ne se préoccupait plus d'elle. C'est sans doute à partir de cette époque qu'elle commença à changer. Bien sûr, les changements étaient infimes et lents, personne ne s'en rendit compte. Elle gardait de plus en plus de choses pour elle, et finit par ne plus parler de ses problèmes. De toutes façons, à qui pourrait-elle se confier ? Son frère était son seul vrai ami, elle n'avait jamais ressentit le besoin d'avoir quelqu'un d'autre. Et puis, elle ne voulait être un fardeau pour personne. Elle préférait aider, et d'ailleurs, elle s'en donnait à cœur joie. Son père ne cachait pas qu'il n'y arrivait pas seul. Il avait reprit le travail récemment, et il ne pouvait pas tout faire. Il était fatigué, et il avait en plus à supporter les disputes à répétition avec son fils. C'était trop. Alors Kaede le soulageait d'une partie des tâches ménagères, et elle s'occupait seule de l'école, de ses devoirs.
Kaede, 15 ans. Son caractère ne cessa de s'affirmer dans cette voix. Elle était devenue cette personne discrète constamment à l'écoute des autres. Sa crise d'adolescence est restée très discrète également, puisqu'elle a gardé pour elle toute l'injustice qu'elle ressentait. Son frère, qui avait mûrit, la soutenait. Elle était contente de l'avoir retrouvé, comme avant, parce qu'elle devait bien avouer qu'il lui était d'une grande aide. Il la protégeait et savait prendre soin d'elle. Il ne faisait pas ça pour se faire pardonner, il savait que sa sœur ne lui en avait jamais voulu. Il était également ravi d'avoir quelqu'un à qui se confier, quelqu'un avec qui discuter toute la nuit de choses et d'autres. Juste quelqu'un.
Kaede, 16 ans. Tout changea lorsqu'elle entendit une voix. Une voix de femme qui disait "Je suis là, mon cœur...". Une voix qui semblait répondre à sa lointaine question de petite fille. Et elle sourit.
Monde d’où vous venez : la Terre ^^
Origine : Bah, p'tit lapin pas rose ! Juste humaine ^^
College où vous souhaitez aller : Verto, je crois que ça lui correspond bien ^^
Niveau de perversion jusqu'au quel vous pouvez aller : P't'être 6, si j'arrive à lui faire boire beaucoup, beaucoup, beaucoup d'alcool x) Nan, avec elle peut-être seulement 2 ou 3 ^^'
Autre : N'abusez pas de sa gentillesse et de sa naïveté, soyez mignoooons ^^
Pseudo/Surnom/Prénom : Gabrielle, Gaby-chan, Préfette Suprême
Comment êtes-vous arrivés ici : Par Mélu'
Ce que vous aimez : Le chocolat, dormir, manger, dormir encore x) Sans oublier mon cher ordi, sans qui je ne pourrais pas écrire sans me faire mal aux mains ^^
Ce que vous détestez : Plus grand chose en ce moment ^^ Optimisme Pooowaaaaaa =3
Devise : Il en faut vraiment une ? Obligé ? xD
Petit message (à n'importe qui) : Bah . . . J'avais plus internet alors j'ai pas pu venir avant aujourd'hui (enfin, hier x'D) ^^ Si si, je jure (c'est pas bien d'jurer ==") sur ma tête et puis sur la votre (vous savez que j'vous aiiiiiiime, hein ^^) que c'est vrai ^^ Bref, contente de re-être parmi vous ^^